Expositions


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REGARDS PASTELS 

Mai 2011, à Floreffe

 

L'exposition Regards Pastels est finie, 34artistes, 34 touches et de multiples mondes reliés... J'ai découvert de superbes oeuvres , j'ai eu des conversations chaleureuses avec nombre de ces artistes .


 

Ci-après voici déjà deux noms à retenir,quelques unes de leurs oeuvres et des sites pour les re-découvrir...

-Janick Poncin, http://www.janickponcin.com/, une pastelliste passionnément heureuse , qui nous plonge dans la nature profonde de l'univers.

Nous avons partagés un mur et de mots...

-Fabienne Bertrand, de l'abstrait aux portraits dignes une touche de pastel tout en nuance, on espère bientôt la trouver sur la toile cybernétique. En attendant voici une photo, de la "dame couchée". Toile qu'une de mes amies a achetée, et que j'aurais donc le loisir de regarder et apprécier à nouveau.
 

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EXPOSITION ITINÉRANTE

 ARCHI AFRICA: 2nde ETAPE A EGHEZEE

Aperçus des Architectures Africaines

Du 01 au 06 Novembre 2010


Un demi-siècle après les indépendances africaines, les années 2010 marquent, pour de nombreux pays du continent (17), le cinquantenaire de l’accession à l’indépendance politique. Les regards sont tournés vers le continent africain.

Pour 2010, est proposé une exposition itinérante ARCHIAFRICA dont le thème central est « Aperçus des architectures africaines ». ArchiAfrica, prochaine escale à Eghezée, à ACCORTise Business Center.


L’architecture africaine est l’une des sources de développement social, économique et culturel. Mais aussi étrange que cela puisse paraître, l’architecture africaine ne profite pas de l’accroissement récent d’intérêt porté aux autres domaines. Ce manque d’attention ne s’explique pas par un manque de réalisations : l’histoire de l’architecture africaine est riche en profondeur et variée.
A ce jour il est toujours aussi difficile de trouver des documents et photos, sur des projets architecturaux dans de nombreux pays du continent.
Pourtant, Il y a eu:
-une architecture avant la colonisation (églises, chefferies, mosquées, universités, fermes…),
-une architecture durant la colonisation( à la fois adaptée et/ou mettant en avant l’esthétisme des occidentaux),
-une architecture durant la période des indépendances (renouveau, projets « grandioses »,…),
-une architecture contemporaine (« populaire », typée, la crise économique tant présente, une architecture plus « simple », mais tout aussi originale…)

 
L’exposition dans le business center de Mme Anathalie Thiry-Mukundwa, à Eghezée « ARCHIAFRICA : 17 PAYS- 17 ARCHITECTURES » présente les créations d'AMI, une jeune artiste belgo-gabonaise. Des peintures issues de ses échanges, de ses rencontres avec des représentants de ces différents pays : AFRIQUE DU SUD, BENIN, BURKINA FASO, CAMEROUN ,CENTRAFRIQUE ,CONGO , COTE D'IVOIRE ,ETHIOPIE, GABON, GHANA, MADAGASCAR, MAROC, NIGERIA, TCHAD, TOGO, SENEGAL, SOMALIE.

 
« Une sélection forcément suggestive et incomplète portée par l'émotion et la passion, ce tour d'Afrique des architectures. Cette deuxième rencontre à Eghezée, est le début d'un projet de longue haleine, il y a 52 pays sur le continent et dans chacun d'eux des architectes, hommes et femmes qui ont bâtis des cités avec des palais, des murailles, des fermes: en terre, en bois , en bambous ou en pierres. Des hommes et des femmes qui au contact d'autres cultures ont su développer d'autres techniques, d'autres art-de-faire...
Je compte donc tout au long de 2010 et 2011 offrir dans une exposition itinérante et sur mon site web, une autre image du continent africain, un continent qui se construit depuis la nuit des temps! »

 
Une présentation à toutes les échelles et sous toutes ses facettes : d’un ensemble urbanistique à un détail technique, du matériel a l’âme d’un édifice: de 20 aujourd'hui au Accortise BusinessCenter,Eghezée, à 30, 52,puis 104 esquisses, dessins à l'encre, peintures plus tard...
Avec l’exposition « ARCHIAFRICA : 17 PAYS- 17 ARCHITECTURES »  nous vous souhaitons un bon voyage sur le continent et dans le temps.


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ArchiAfrica :2ème partie, les lieux de cultes

ESCALE AU BURKINAFASO, AU CONGO ,ET EN ETHIOPIE!

Le tour de l'Afrique des Architectures, deuxième partie consiste à montrer l'architecture religieuse.
Depuis l'aube des temps les hommes se sont réunis pour louer la nature si sacrée, et le Dieu Soleil...Inspirés, ils ont donc construits des édifices pour se réunir et remercier leurs ancêtres, ou célébrer à l'abri le Dieu-Unique.
Les lieux de culte ont un caractère sacré aux yeux des croyants. Ils ont une particulière, propre à chaque religion.
Dans les grottres, dans une grande case dans la jungle urbaine, aux basiliques privilégiées del'Eglise Catholique , aux temples ou encore aux mosquées, nous n'avons que l'embarras ,il suffit de suivre son coeur et tourner son regard vers le soleil, « lumière suprême »


2.1 « Au Burkina Faso : Mosquée de Bobo-Dioulasso»
(Fusain et pastel gras sur Ingres d’Arche, 32.5*42.5cm)
Au pied de la mosquée de Bobo-Dioulasso ,l'enfant répond à l'appel du Muezzin... C'est à Bobo-Dioulasso, ancienne capitale du pays, située a quelques 360 km de Ouagadougou que se trouve de magnifiques édifices en terre.
Ainsi cette célèbre mosquée de Bobo-Dioulasso caractérisée par son architecture en Banco, de type Soudanaise. Elle date de la fin du XIXeme siècle. Les pieux en bois vous rappelleront les mosquées du nord du Burkina Faso et du sud du Mali ou du Niger.
Elle est née d'un conflit entre Sya et Kenedougou. Le roi de Sya ne pouvant faire face seul aux assaillants il négocia l'appui des musulmans. En échange, il s'engagea sur la construction de la mosquée.
Les deux minarets sont particulièrement impressionnants au moment du coucher de soleil.

2.2 « Au Congo: Basilique Sainte Anne, Brazzaville
(Fusain et pastel gras sur Ingres d’Arche, 32.5*42.5cm)

La Basilique Sainte-Anne du Congo est l’un des monuments religieux significatifs de Brazzaville, capitale de la République du Congo.
C'est dès 1936 que Mgr Biéchy décide, pour faire face à l'afflux de convertis à Poto-Poto, de la création d'un sanctuaire important dans ce quartier de Brazzaville. En 1943, sort de terre un édifice extrêmement novateur dû au talent de l'architecte Roger Erell (1907-1986). Celui-ci réalise là une étonnante fusion des apports techniques européens et des apports culturels locaux. Il fait entrer pour la première fois dans un grand chantier colonial, des artistes autochtones, comme Benoit Konongo.
Sur un plan classique en croix latine, Erell conçoit un édifice de vastes proportions (85 m de longueur, transept de 45 m de largeur, 22 m de hauteur sous voûte, flèche prévue de 83 m) utilisant l'arc en ogive très aigüe inspiré par les fers de lance du nord du Congo, les cases obus en terre du Tchad et les tunnels de bambous géants du Mayombe. Les tuiles vertes renvoient à la nature généreuse du milieu équatorial ; celles en formes d'écailles de serpent évoquent, telles les gargouilles des cathédrales médiévales, le malin qui reste hors de l'église.

2.3 « En Ethiopie: L'église de Lalibela»
(Fusain et feutre sur papier Photo, 25*32.5cm)

Au XIXe siècle, l'Éthiopie fascinait les Européens. Considérée par ces derniers comme un «pôle chrétien» au sein d’une «Afrique islamo-animiste», l’Éthiopie faisait figure de «pays civilisé». L’Italie dut reconnaître l’indépendance de l’Éthiopie en octobre 1896 (paix d’Addis-Abeba), ainsi que les frontières telles qu’elles résultaient de l’expansion de Ménélik II, ce qui correspond aux frontières actuelles. Il y a tant à découvrir en Ethiopie, architecture de pierres, de terre, de bois, mais il faut dans les édifices religieux ne surtout pas ignorer Saint-Georges, l'église orthodoxe la plus emblématique de la belle cité monastique de Lalibela, en forme de croix. Lalibela ville sainte ,à 2480m d'altitude, avec onze églises monolithes médiévales, datées du XIIIème siècle. « On mesure particulièrement les efforts d'excavation important qui ont été réalisés. N'oubliez pas bien entendu, l'intérieur de l'église elle même a aussi été creusée! C'est presque de la dentelle... »
Bienvenue à Lalibela haut-lieu du christianisme, lieu de pélerinage et de dévotions. Le site a été classé au patrimoine mondial en 1978.


ArchiAfrica: 1ère escale, l'architecture privée

ESCALE AU BENIN, AU CAMEROUN, A MADAGASCAR, EN MAURITANIE,EN SOMALIE ET AU TCHAD!
Le tour de l'Afrique des Architectures, première partie consiste montrer l'architecture privée, l'architecture à vivre: l'ingéniosité dont a fait preuve ces hommes et femmes du nord au sud de ce continent.

1.1. « Au Bénin: une maison coloniale métissée »
(Fusain et feutre, sur papier photo,25*25cm )
L'histoire socio-politique et culturelle du Bénin ne peut se reconstituer sans Porto-Novo compte tenu du rôle important que cette cité a joué.
Le Bénin indépendant depuis le 1er aout 1960, un petit pays qui a la forme d'un coup de poing enfoncé dans l'Afrique, expression de la force de caractère de ses habitants certainement.
Le bénin région traversée par des royaumes, terre gorgée de sang, terre d’escale lors de la traite, terre du vaudou, terre riche malgré tout.
Porto-novo est la ville ou transparait toute l’histoire de ce pays: on y trouve les palais royaux, les grands temples vodoun, l’habitat concessionnaire des vieilles familles de Porto-Novo.
Ainsi que cette maison de type afro-brésilienne. C'est le « Style Porto-Novo » dérivé du baroque portugais du Brésil.





1.2. « Au Cameroun : la chefferie Bafoussam. »(Acrylique et fusain gras, sur raphia tressé, 35*45cm )
Connaissez vous le Cameroun, autre nation africaine indépendante depuis 50 ans . On y trouve des peuls, des doualas, des Bamilékés...
Ce dernier groupe ethnique a développé une architecture particulière : la maison Bamiléké traditionnelle a de très hauts toits côniques très épais. Par ailleurs plus la maison d'un notable bamiléké à de toits, plus il est considéré comme puissant. Alors se pourrait-il que cette maison appartienne à un chef Bafoussam? Pourquoi pas vu que Bafoussam est une cité économique importante du Cameroun, normal ne dit-on pas que les Bamilékés sont de redoutables hommes d'affaire.





1.3.« A Madagascar: les maisons Zafimaniry».
(Acrylique,fusain et encre noire sur carton gris , 50*70cm)
Les Zafimaniry ou gens de la forêt sont considérés comme les architectes - sculpteurs de Madagascar. Une technique; un savoir-faire qui tombe en désuétude. Heureusement « Le savoir-faire du travail du bois des Zafimaniry a été proclamé chef-d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité en 2003. Un plan d’action a été mis en œuvre afin de favoriser la transmission de ce savoir-faire, d’améliorer les conditions de vie des Zafimaniry et de préserver leur environnement naturel. »
De taille relativement importante, la maison Zafimaniry est essentiellement réalisée en bois simple ou sculptés, une charpente aux assemblages complexes, couverte de bambou écrasé. Les Zafimaniry excellent aussi dans la décoration. Ils ornent tous les objets domestiques en bois à l'aide de gravures géométriques appelées sokitra. Volets, piliers, portes ainsi que les meubles n'échappent pas à cette tradition,offrant des architectures uniques, étonnantes et belles


1.4.« En Mauritanie: Portes de Oualata »
(Acrylique et fusain gras, sur raphia tressé, 35*45cm)
Frapper à cette porte, vous y rencontrez peut-être une femme, belle et discrète, habillée d’un melhafa bleu, le voile traditionnel qui enveloppe intégralement le corps des femmes mauritaniennes.Une femme de Oualata, qui vous contera l'histoire de cette cité ancienne célèbre pour ses bibliothèques, son architecture immuable et ses décorations murales. C’est l’une des plus belles villes de Mauritanie par son environnement, au pied du Dhar. Les maisons en pierres ont une architecture originale. Les peintures aux différents motifs décorent les maisons. Oualata aurait été construite au début du 11eme siècle. Cité caravanière et ville-relai. Oualata connut ses moments de splendeurs. Elle a été un très grand centre culturel et religieux, concurrent de la grande cité de Tombouctou.
La cité de Oualata en particulier possède une décoration intérieure comme extérieure magnifiques. Les façades sont recouvertes d’un mélange de terre et de bouse de vache, mêlés à de la gomme arabique afin d’assurer l’étanchéité des murs. Ce sont ces matériaux naturels qui donnent cette couleur particulière aux maisons de Oualata...


1.5.« En Somalie: une ancienne tour , Almanara »
(Fusain et feutre, sur papier photo, 25*25cm)
Une tour de pierre, une architecture immuable.


1.6.« Au Tchad: une case obus »
(Acrylique et fusain, sur toile , 20*20cm)
Le Tchad, indépendant depuis le 11 aout 1960, est connu pour être l’un des berceaux de l’humanité avec la découverte notamment de Toumaï.
Trois royaumes sahéliens ,le Kanem-Bornou, le Bauirmi et le Ouaddaï existèrent dans cette région s’étendant au delà des frontières actuelles (création de la colonisation européenne) . Il existe aussi dans cette contrée des bâtisseurs exceptionnels, voilà trois siècles que les Mousgoum construisent leurs habitations dans les plaines situées sur la frontière du Tchad/Cameroun: la case en forme d’obus.
Bien que reconnue comme fascinante par des voyageurs célèbres tels qu’André Gide, la culture Musgum, ancienne, reste trop peu connue.
La case musgum, objet architectural unique, construit à la main, très résistant et de conception écologique, se présente comme une grande coupole parabolique. Cette case subsaharienne, spectaculaire par sa taille, peut atteindre dix mètres de hauteur et sept mètres de diamètre. Elle est constituée d’une mince paroi faite d’un savant mélange de terre argileuse mêlée à de l’herbe suksukyi et à des excréments de chèvre.
La case musgum n’a aucun renfort structurel de bois, ce sont les motifs extérieurs, de petits contreforts de terre, qui contribuent à la tenue de l’édifice et servent d’échafaudage naturel pour permettre aux bâtisseurs de grimper jusqu’au sommet de la coupole, percé d’un conduit de ventilation susceptible d’être couvert pendant la saison des pluies.
Or cette architecture de terre qui constitue l’unité d’habitation des villages traditionnels appartient déjà en grande partie au passé. Au début des années 1990, elle n’existait quasiment plus que dans la mémoire collective. Sa technique n’était connue que de quelques anciens, les derniers maîtres bâtisseurs.
Les Musgums délaissent en effet l’habitat traditionnel pour des cases préfabriquées en béton, plus résistantes aux conditions climatiques et plus faciles à construire. Pourtant, la case musgum est un exemple magnifique de ces "maisons respectueuses de la Terre", en voie d’extinction.



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EXPOSITION ITINÉRANTE

 ARCHI AFRICA: 1ère ETAPE A ANZIN

Un demi-siècle après les indépendances africaines, les années 2010 marquent, pour de nombreux pays du continent, le cinquantenaire de l’accession à l’indépendance politique. Les regards sont tournés vers le continent africain.

Pour 2010, dans le cadre du festival « AFRICA2010 » à Anzin (France), est proposé durant 3 jours ,à compter de ce 09juin, une exposition dont le thème central est « Aperçus des architectures africaines ».



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Convergences Professionnelles Africaines 2 (27Fév 2009)

Le 28 novembre 2008, L'ASBL Raffia Synergies a  lancé une nouvelle dynamique : les Convergences Professionnelles Africaines.

Ce processus vise à favoriser la rencontre entre professionnels, décloisonner les initiatives, croiser les expériences, échanger des savoirs, concevoir des projets…Le  27 février 2009, à 19h s'est déroulé la deuxième rencontre. Au cours de celle-ci, a été exposé quelques unes de mes oeuvres .

Lieu:                Salle Maalbeek,(Rue du Cornet, 97 à 1040 Bruxelles) .
Organisateur:   Raffia Synergies a.s.b.l * Avenue Louise, 306 • 1050 Bruxelles, Belgique
Tél. ++32 (0)2 626 08 77 • Fax ++32 (0)2 647 65 93 Mobile ++32 (0)476 87 35 42




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AFRICA DAY: 25 Mai 2008

 

Chaque 25 mai, en Afrique, il y a l’Africa day.
La celebration de la mise en place de l’Organisation de l’unité Africaine.


A Bruxelles , a été organisé une conférence-Débat en accès libre sur la "stratégie conjointe Afrique-Union Européenne" ,  ainsi qu'une exposition à laquelle j'ai participé avec tant d'autres artistes africains.





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